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Girl Don't Come
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7 juillet 2012

Starbuck

starbuck_affStarbuck
pays: Canada
genre: comédie
année: 2012
durée: 1h49
réalisateur: Ken Scott
scénario: Ken Scott, Martin Petit
distribution:  Patrick Huard (David Wozniak), Julie LeBreton (Valérie), Antoine Bertrand (l'avocat de David), Dominic Phile (le frère sévère), Marc bélanger (Paul, le frère sympa), Igor Ovadis (le père), David ichael (Antoine), Patrick Martin (Etienne), David Guigère (porte parole)...

Le speech: Tout juste au moment où David Wosniak apprend que sa compagne Valérie est enceinte, cet éternel adolescent de 42 ans, qui cultive des plants de cannabis dans son appartement et doit de l'argent (près de 80 000 dollars), découvre qu'il est le géniteur de 533 enfants, déterminés à le retrouver.

> bande annonce

 Ma note: 8/10
J'aime
: Une savoureuse comédie canadienne, où on ne s'ennuie pas un seul instant. J'aime bien les films canadiens: pour la sonorité de la langue, l'accent, leurs expressions qui nous semblent farfelues -comme "costume de bain" pour un "maillot de bain"... Ce film joue parfois avec les clichés (David est un looser et représente le cliché du looser: il bosse dans l'entreprise familiale de boucherie, fait mal son boulot, doit du pognon -finalement, on ne sait même pas à qui ni pourquoi-, n'est pas prêt à s'engager et j'en passe; son copain l'avocat est l'archétype du gars bien nourri qui traîne en pyjama en s'occupant de sa marmaille dans une grande maison où il n'y a apparemment pas de mère). La trame de l'histoire est sympa: David se retrouve géniteur de plus de 500 enfants, dont 140 qui veulent le connaître. Je dirai que le choix final de David est très moralisateur, très à l'américaine (à l'issue du procès, il devait toucher près de 200 000 dollars de dommages et intéret du laboratoire, mais il préfère y renoncer et décide plutôt de révéler son identité car il s'est attaché à sa 'grande famille'). Pour un gars qui n'avait pas un sous, une telle opportunité ne se refuserait pas... mais bon, c'est une comédie où il fallait montrer que le glandeur de service avait finalement un bon fond. C'est un film drôle et touchant à la fois.

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3 juillet 2012

Rolling Stone Juillet-Août 2012

rs_L4199Le magazine Rolling Stone n°45, de juillet-août 2012, consacre des articles très intéressants, et publie de très belles photos.
Prix: 5,95 € (je le concède: prix cher pour un magazine mensuel de 98 pages, surtout que ce numéro regroupe les 2 mois d'été de juillet et août ! Mais je sélectionne mes achats de la presse musicale, car celle-ci est vendue très chère). 

> Commençons d'abord par le compte-rendu du concert de Garbage à l'Olympia du 16 mai 2012. L'article est plutôt très factuel, l'auteur ne reflète pas réellement l'émotion ressentie mais ne fait que dresser la liste des morceaux interprétés.
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> Ensuite, la raison principale pour laquelle j'ai acheté le mag: un article de 6 pages sur Damon Albarn. Très bon article, quoique pas particulièrement flatteur pour l'artiste, dépeint comme une personne lunatique et arrogante, qui manipule un peu (voire beaucoup) ses compères de Blur; et que chacun de ses partenaires (comme aussi avec Gorillaz) doivent composer avec le mauvais caractère de Damon. Mais bon, on lui pardonne tout à Damon, tant il possède un talent énorme pour la musique ! Par ailleurs, on apprend qu'un coffret Blur composé de 21 CD sortira dans les bacs le 31 juillet 2012, comprenant bien évidemment tous les albums du groupe (que je possède déjà of course!), mais surtout des bonus à foison: près de 195 autres chansons (face-b ou raretés) ainsi que 3 DVDs (deux concerts et les clips) et un livre de photos. Merveilleux tout ça... mais le hic (oui, il y a bien le revers de la médaille!), c'est qu'il faudra déboursé 160 Euros pour se l'offrir (ce qui n'était pas prévu au programme de mes frais de dépenses, mais quand je lis tout le contenu de ce coffret... Mamamia, ça donne trop envie!).
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> Enfin, le mag contient un article de 7 pages sur Radiohead (très instructif, sur la manière dont le groupe travaille ses compos), sur le producteur Jimmy Iovine, sur Jack White (qui fait la couv'), sur Vince Taylor, Oasis (sur le pourquoi du comment du split des deux frangins après l'annulation du concert de Rock en Seine en 2009), un formidable portfolio sur le groupe The Rolling Stones (en 8 pages, photos légendées) et pleins d'autres surprises, surtout côté photos, dont je vous ai scannée ce que je préfère -en pêle-mêle: Michael Jackson, Vince Taylor et BB, Marlon Brando (photo pleine page), Mick Jagger et l'article sur Oasis:
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3 juillet 2012

Start Up Juin 2012

su_img879Le magazine Start Up n°173, de juin 2012, publie une interview de Shirley Manson (sur une page et demie). Le magazine est totalement gratuit, dispo chez les disquaires (perso, je l'ai trouvé à Cultura).
Site web du mag: startupmagazine.fr

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2 juillet 2012

1956 Jayne Mansfield par Lou Jacobs Jr.

Une photo, Une histoire

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Photographe: Lou Jacobs Jr.
Modèle:
Jayne Mansfield
Date
:
1956
Lieu: Los Angeles 

mmlook_jayne_111Le photographe Lou Jacobs Jr. a photographié la jeune actrice en herbe Jayne Mansfield, âgée de 23 ans, chez elle. Jayne n'avait tourné que des rôles mineurs dans quelques productions cinématographiques (dans 4 films) et télévisuels (dans une série). Et c'est justement durant cette année 1956, qu'elle connait le succès avec le film The Girl Can't Help It (La Blonde et Moi) avec Tom Ewell, qui était le voisin paranoïaque de Marilyn Monroe dans The Seven Year Itch (Sept ans de réflexion) en 1954. Et c'est justement pour concurrencer Marilyn Monroe, qui voulait plus d'indépendance dans sa carrière, que les studios de la Fox ont engagé Jayne.
Jayne pose ici dans une petite robe d'été (de Ceil Chapman) devant la pallissade de sa maison (qui n'était pas encore sa luxueuse demeure ostentatoire du Pink Palace, acquise en 1958), et prend des poses lascives sur son lit vêtue d'un bikini moumoute. Jayne a toujours adoré les animaux (plus particulièrement les chiens), et on distingue son chat -un siamois- à coté d'elle. Comme toujours avec Jayne, la petite séance photos innocente finit par se tranformer en poses sensuelles où Jayne met sa poitrine en valeur.

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1 juillet 2012

1961 Liz Taylor par Mark Shaw

Une photo, Une histoire 

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Photographe: Mark Shaw
Modèle:
Elizabeth Taylor
Date
:
Avril 1961

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Elizabeth_Taylor_28_avril_1961Le photographe Mark Shaw a été envoyé par le magazine américain LIFE pour photographier Elizabeth Taylor pour le numéro à paraître le 28 avril 1961. Mais les photos qu'il a pris n'ont finalement jamais été publiées dans l'article du magazine, écrit pour célébrer l'Oscar que l'actrice venait de recevoir la veille -le 27 avril- pour son rôle de call-girl dans le film "Butterfield 8" ("La Vénus au Vison"). Pour cette séance, Liz est vêtue de la robe qu'elle portait pour la cérémonie. Et c'est finalement une photographie prise lors de la réception des Oscars qui fit la couverture de Life.
A la cérémonie, Liz était accompagnée de son 4ème mari, le chanteur Eddie Fisher, qui avait quitté sa femme Debbie Reynolds pour Liz. Autant dire que Liz était plutôt mal vue dans l'opinion publique, qui la considérait comme une briseuse de ménages. Peu de temps avant, Liz était tombée très malade (elle fut hospitalisée à cause d'une pneumonie contractée à Londres, qui a nécessité une trachéotomie en urgence), mais elle est présente pour recevoir son premier Oscar de la meilleure actrice en ce 27 avril 1961. Elle avait néanmoins émis des critiques publiques contre ce film mineur. Ce trophée la récompense pourtant après trois échecs consécutifs pour de grands films, mais les votants ont sans doute voulu encourager l'actrice dans sa convalescence et faire office de rattrapage pour les statuettes qu’elle avait ratées pour des rôles largement plus marquants. Ce film achèvera le contrat qui liait Elizabeth Taylor avec la MGM; elle rejoindra la Fox.

> la cérémonie des Oscars
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Elizabeth_Taylor_Oscar_1961_p04 Elizabeth_Taylor_Oscar_1961_p01 Elizabeth_Taylor_Oscar_1961_p03

> source web:
site officiel markshawphoto.com

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