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shirley manson
19 mai 2012

Garbage Tournée 2012

Garbage fait enfin son grand retour sur la scène musicale après sept années d'absence: un nouvel album Not your kind of people (sortie le 14 mai 2012) et une tournée internationale.Voici toutes les dates de concerts du groupe prévu pour cette année 2012 (retrouvez les dates du groupe en France et en Belgique en couleur): 

6 avril - USA - Bootleg Theater, Los Angeles, CA
9 avril - USA - El Rey, Los Angles, CA
10 avril - USA - El Rey, Los Angles, CA
14 avril - USA - Pearl Concert Theatre, Las Vegas NV
16 avril - USA - 92.1 KFMA, The Playground, Tucson, AZ
16 avril - USA - The Rialto Theatre, Tucson, AZ
17 avril - USA - The Marquee, Phoenix, AZ
20 avril - USA - House of Blues, Houston, TX (concert annulé)
21 avril - USA - La Zona Rosa, Austin, TX (concert annulé)
22 avril - USA - Edgefest 22,FC Dallas Stadium, Dallas, TX
24 avril - USA - Belly Up, Aspen, CO (concert annulé)
25 avril - USA - Ogden Theatre, Denver, CO (concert annulé) 
27 avril - USA - The Venue, Salt Lake City, UT (concert annulé) 

garbage_2012_tournee_visuel

5 mai - USA - KROQ Weenie Roast, Los Angles, CA
9 mai - ANGLETERRE - Troxy, London
11 mai - RUSSIE - Jubilenyi Hall, St. Petersburg
12 mai - RUSSIE - Crocus City Hall, Moscow
16 mai - FRANCE - Olympia, Paris
22 mai - USA - Webster Hall, New York, NY
23 mai - USA - 930 Club, Washington, DC
25 mai - USA - House of Blues, Atlantic City, NJ
26 mai - USA - Paradise Rock Club, Toronto, ON
28 mai - USA - Phoenix Concert Theatre, Toronto

garbage_2012_tournee_solidays 
garbage_2012_tournee_mainsquare 

1er juin - USA - KJEE Summer Round Up, Santa Barbara, CA
9 juin - POLOGNE - Orange Warsaw Festival, Warsaw
11 juin - RUSSIE - Rock on the Volga Festival, Samara
12 juin - UKRAINE - Prosto Rock Festival, Odessa
16 juin - SUEDE - Hultsfred Festival, Hultsfred
17 juin - DANEMARK - Northside Festival, Aarhus
19 juin - PAYS-BAS - Melkweg, Amsterdam
22 juin - ALLEMAGNE - Southside Festival, Tuttlingen
23 juin - ALLEMAGNE - Hurricane Festival, Scheeßel
24 juin - FRANCE - Solidays Festival, Paris
27 juin - LUXEMBOURG - Rockhal, Luxembourg
28 juin - BELGIQUE - Rock Werchter Festival, Werchter
29 juin - FRANCE - Main Square Festival, Arras

 garbage_2012_tournee_beauregard garbage_2012_tournee_vieilles_charrues 

1er juillet - ANGLETERRE - Brixton Academy, London
2 juillet - ANGLETERRE - Civic Hall, Wolverhampton
3 juillet - ANGLETERRE - Academy, Manchester
4 juillet - ECOSSE - Barrowlands, Glasgow
6 juillet - ROUMANIE - B’estfest Festival, Bucharest
8 juillet - FRANCE - Festival Beauregard, Hérouville Saint-Clair
11 juillet - ITALIE - 10 Giorni Suonati Festival, Vigevano
12 juillet - ITALIE - Ippodromo delle Capannelle, Rome
14 juillet - ESPGANE - Bilbao BBK Live Festival, Bilbao
15 juillet - FRANCE - Musilac Festival, Aix-les-Bains
17 juillet - FRANCE - Les Escales du Cargo, Arles
19 juillet - PORTUGAL -Festival Marés Vivas 2012, Porto
22 juillet - FRANCE - Festival des vieilles Charrues, Bretagne

4 août - CANADA - Osheaga Festival, Montreal
18 août - JAPON - Summer Sonic Festival
19 août -  JAPON - Summer Sonic Festival

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19 mai 2012

16/05/2012 Garbage à l'Olympia

garbage_2012_05_16_france_paris_olympia_01_1Le premier concert de la tournée européenne de Garbage s'est déroulé en France, plus précisèment à Paris dans la salle de l'Olympia le soir du mercredi 16 mai 2012. Je n'y étais malheureusement pas, mais on trouve sur le web quelques photographies ainsi que la liste des chansons interprétées en live (surnommé dans le jargon professionnel une "setlist").
La première partie était assurée par EMA.

garbage_2012_05_16_france_paris_olympia_02_1 garbage_2012_05_16_france_paris_olympia_03_1

Garbage - Setlist

    Supervixen
    Temptation
    Shut Your Mouth
    Queer
    Metal Heart
    Stupid Girl
    Why Do You Love Me ?
    TWINE
    #1 Crush
    Cherry Lips
    Blood For Poppies
    Battle In Me
    Milk
    Man On A Wire
    Paranoid
    Bad Boyfriend
    Only Happy
    Push It
    —————-
    Automatic Systematic Habit
    Trick Is To Keep Breathing
    Vow

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garbage_2012_05_16_france_paris_olympia_02_2 garbage_2012_05_16_france_paris_olympia_02_3 garbage_2012_05_16_france_paris_olympia_02_4

> sources images
sur parsenlive.fr   
sur woburnresidence.com
sur photosconcerts.com     

14 mai 2012

Garbage dans L'Album de la semaine sur Canal Plus

L'Album de la Semaine met en lumière les nouvelles sorties musicales, l'album coup de cœur de CANAL+, celui qui doit figurer en tête de vos playlists !

L'artiste en question vient sur le plateau pour vous faire découvrir son tout nouvel album, à travers un concert privé. Si vous souhaitez être informé des enregistrements des différents Albums à venir, envoyez vos coordonnées et numéro de téléphone à Bertrand : bertrand@agence-cassandra.com
Renseignements au 01 55 93 40 48 

GARBAGE -Complet
Le mardi 15 mai 2012 à 18:30  - Assis
Studios de France - Bât 104
50 Avenue du Président Wilson
93210 La Plaine - Saint-Denis

source: preprod.emissions-tv.com 


Garbage au studio 104
le 15 mai 2012

du site rockyourlife.fr  

garbage_live_canal_1 

Mardi 15 mai, veille du concert sold out à l'Olympia, le quatuor américain rock était dans la capitale afin de promouvoir son nouvel album "Not Your Kind Of People" sorti le jour même. A cette occasion, Garbage a donné un show privé filmé dans le cadre de l'émission "L'Album De La Semaine" dans les studios de Canal+ devant un parterre de quelques privilégiés.

Après le brief du public par le chauffeur de salle, les musiciens débarquent enfin sur le plateau pour débuter le set de quatorze chansons (onze à la base) dont seulement quatre du successeur de "Bleed Like Me" (2005) seront interprétées. Etrange pour un concert promo. Mais cela n'est pas pour déplaire le public de fans, bien au contraire. Sur scène, la fashionista Shirley Manson (chant) est vêtue de manière très chic tout droit sorti des 80's : combinaison imprimée des mêmes motifs noir et blanc que le nouveau logo du groupe inscrit sur la peau de batterie de Vig, chignon haut, peau très blanche sans oublier le fameux rouge à lèvres. A contrario, Steve Marker (guitare), Duke Erikson (basse/claviers/guitare/percussions) et Butch Vig (batterie) portent des lunettes et sont habillés chic mais plus sobre que la chanteuse rousse. Sur scène, ils sont accompagnés d'un autre membre additionnel, Eric Avery, qui n'est autre que le bassiste originel de Jane's Addiction.

Le groupe démarre les hostilités avec "Automatic Systematic Habit", premier morceau ouvrant "Not Your Kind Of People". D'emblée, Garbage attaque avec un titre illustrant parfaitement la nouvelle direction du cinquième opus : beaucoup de samples voir même de l'autotune pour un résultat électro dance très catchy tout en gardant la patte rock caractéristique du combo. S'ensuit le classique "Queer" qui voit l'interruption de l'enregistrement par deux personnes de la production venant signaler à la frontwoman qu'elle a du rouge à lèvres sur les dents. Cette dernière, toujours aussi provocante que soucieuse de son image glamour, l'enlève d'un geste assez suggestif en suçant son index. D'ailleurs, elle n'hésitera pas à jouer avec son regard de braise autant avec les caméras qu'avec l'assemblée. Suite à ce petit incident esthétique, le concert reprend son cours avec le nouveau single "Blood For Poppies", très efficace en live. Vient ensuite "Stupid Girl" sur lequel Shirley commence enfin à se lâcher et danser. On comprendra par la suite que le set alterne nouveau titre et ancien titre jusqu'à "Battle In Me" et sa rythmique dévastatrice sur lequel la chanteuse s'avancera vers des heureux chanceux du premier rang tout en chantant, les fixant droit dans les yeux (ces derniers restant pétrifiés !). Arrive "Only Happy When It Rains" commençant par une intro calme avant la tempête, qui sera suivie de "Push It". Outre ses multiples remerciements dans un timide français, Miss Manson confie avant la dernière chanson du set, "Wow" (du moins, c'est ce qu'elle croyait) que c'est la première apparition télévisée du groupe depuis sept ans. De plus, Ils s'étaient déjà produits dans ce même studio en 2005. Pour Garbage, ce moment qui coïncide avec la sortie du nouvel album est donc spécial étant donné que Paris compte beaucoup pour eux. Ce petit speech se finira par un énième remerciement envers les fans qui sont restés fidèles malgré la longue absence pour accueillir le dernier né de la discographie.

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Alors que tout le monde pensait que le show était terminé, surprise : le régisseur annonce que les deux premières chansons vont être réenregistrées à cause du rouge à lèvres disgracieux de Shirley pour le plus grand bonheur des fans. "Lipstick is a bitch!" répond la frontwoman suite aux remerciements de quelques personnes. Seconde prise pour "Automatic Systematic Habit" et "Queer" donc. Sur ce dernier morceau, la frontwoman se plante dans les paroles et rebelotte pour la troisième fois en une soirée ! Pour éviter de se tromper car "nous sommes tous des humains, donc l'erreur est humaine non ?", Shirley s'aidera auprès d'un fan qui connait les paroles sur les bouts des lèvres ! Par ailleurs, c'est lui qu'elle viendra saluer durant la chanson, montant les marches des gradins sur lequel le public est assis. Au bout d'une bonne heure de set, Garbage quitte le plateau sous les applaudissements du public, heureux d'avoir eu un aperçu live du combo version 2012 en exclusivité. Un peu plus tard, les musiciens dont Shirley, dans la joie et la bonne humeur, qui semble reconnaitre certains fans (venant même d'Australie !), signeront des autographes et poseront avec les quelques personnes restés devant le studio. Une telle accessibilité est rare de nos jours chez des groupes d'une telle renommée. Pour reprendre le nom du nouvel opus, non ils ne sont "pas ce genre de personnes" enfermées dans le star system. On notera que c'est la première fois que la chanteuse découvre la version physique du nouvel album. Après quelques minutes passées auprès des fans, les musiciens donnent rendez-vous le lendemain à l'Olympia pour un show "spécial" avant de s'engouffrer dans leur van. 

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C'est donc un véritable concert privé auquel l'audience a eu droit avec onze chansons aux différents jeux de lumières (plus long que les "Live De La Semaine" habituels). On remarque que ce sont les anciens morceaux qui sont incontestablement efficaces auprès des fans et bien maitrisés tandis que les nouveaux titres de "Not Your Kind Of People" sont légèrement à un niveau en dessous car trop récents ou différente énergie ? Quoi qu'on en dise, ce fut un excellent live !

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Setlist :
Automatic Systematic Habit
Queer
Blood For Poppies
Stupid Girl
Man On A Wire
The Trick Is To Keep Breathing
Special
Battle In Me
Only Happy When It Rains
Push It
Wow
----
Automatic System Habit
Queer (raccourci)
Queer


Diffusion dans "L'Album De La Semaine" le samedi 26 mai 2012 à 11H30 en clair sur Canal+ et dans le "Concert Privé" le mercredi 20 juin à minuit toujours sur la chaine cryptée.

Crédit : Daniel Bardou/CANAL+

mise à jour: 26 mai 2012
Emission: interview du groupe + concert (seulement 4 titres diffusée):
-  Automatic Systematic Habit
-  Blood For Poppies
-  Man On A Wire
-  Battle In Me 

11 mai 2012

Garbage: Blood for Poppies

Garbage_Blood_For_Poppies_300x300Le clip du premier single du dernier album de Garbage, intitulé Not your Kind of People (sortie prévue le 14 mai 2012), est enfin dévoilé ! La chanson Blood for Poppies fait figure de premier single sortie mondialement le 15 mars (tandis que l'Angleterre cherche à se démarquer en sortant le titre très rock Battle in Me comme premier single, allez comprendre...) et comporte bien la signature musicale reconnaissable du groupe: guitares électriques qui gagnent en intensité, distorsion du son, le tout mélé à la voix envoûtante de Shirley Manson. Garbage parvient à échafauder cette sensation de "rêve abstrait" que Shirley Manson évoquait en décrivant cette chanson librement inspirée, selon son propre aveu, de la lecture d'un sujet du Los Angeles Times sur le trafic d'opium et de la vision du documentaire sur la guerre en Afghanistan Restrepo, primé à Sundance en 2010 et nominé pour l'Oscar en 2011; "C'est une chanson sur la désorientation, le vertige et la lutte de l'homme pour ne pas perdre la raison devant la folie", résume Shirley.

Le single et sa Face-B:
1. Blood for Poppies

2. Battle in Me
 

Quand au clip vidéo... Garbage renoue avec ses débuts: atmosphère lugubre et sensuelle à la fois, le tout teinté de surréalisme (qui n'est pas sans rappeler le clip Push it extrait de leur 2ème album). Réalisé en février 2012 par le photographe de mode Matt Irwin, qui propose une image en noir et blanc, sale, abîmée, elliptique et qui se veut inspirée des travaux de Magritte, Buñuel, Maya Deren; bref, trois icônes du surréalisme, mais aussi de la photographe Francesca Woodman, spécialiste des portraits de femme en noir et blanc, qui se suicida en 1981 à l'âge de 22 ans. Le gang Garbage s'est apparemment beaucoup éclaté à tourner à Los Angeles ce "splendide rêve surréaliste", dixit Shirley.

garbage_video_3 garbage_video_1 garbage_video_2  

Artiste: Garbage
 Titre: Blood for Poppies
Réalisateur Video
: Matt Irwin

Année: 2012
Extrait de l'album:
Not your kind of people

 

To lift the sun,
I've been sitting here all night long
Rolling rock, over Buddah with the longhorn
Got a hole, rip a pocket off my uniform
With the black watch boys
Get your heads down
Oooh
Duty calls, but it's way too late
I'm too far gone
Waiting for God, oh hell
With my pants down
Crack the stash
Then be quiet in the midday sun
I miss my dog, and I miss my freedom
Ooh ooh oohh

I don't know why they are calling on the radio
They know i'm here just out of sight
I don't know why they are calling on the radio
It's by my side, and I know i'm right
I don't know why they are calling on the radio
They know i'm here just out of sight
I don't know why they are calling on the radio
It's by my side, and I know i'm right

I hate the things I think about you
When I'm all alone
I know you're tough
But I've been gone
For so long
Play the memories of you
Inside my head
So all these pictures of us
Burn and radiate
Watch the clouds, and I'm falling
Falling through the cracks
Head beats
And my heart is pounding fast
Off the ground
Into the starry dark, into your arms
I'm falling
Ooh ooh oohh

I don't know why they are calling on the radio
They know i'm here just out of sight
I don't know why they are calling on the radio
It's by my side, and I know i'm right
I don't know why they are calling on the radio
They know i'm here just out of sight
I don't know why they are calling on the radio
It's by my side, and I know i'm right

I pray my body's right
I've got to stay alive
I've gotta take a chance and keep on moving
Keep on moving

I don't know why they are calling on the radio
They know i'm here just out of sight
I don't know why they are calling on the radio
It's by my side, and I know i'm right
I don't know why they are calling on the radio
They know i'm here just out of sight
I don't know why they are calling on the radio
It's by my side, and I know i'm right

I don't know why they are calling on the radio
They know i'm here just out of sight
I don't know why they are calling on the radio
It's by my side, and I know i'm right
I don't know why they are calling on the radio
They know i'm here just out of sight
I don't know why they are calling on the radio
It's by my side, and I know i'm right

> source
article Garbage Blood for Poppies sur purepeople.com 

11 mai 2012

Garbage en dédicace à Paris

GarbageIl faut toujours que ce genre d'événement se produise à Paris !! Ceux qui se trouvent dans la capitale sont de véritables petits chanceux, car ils pourront rencontrer le groupe Garbage lors d'une séance de dédicace le mercredi 16 mai 2012 à partir de 13h à l'Espace Rencontres de la Fnac Forum des Halles (Niveau 2). Cependant, le temps sera plutôt (très) limité: la séance ne dure que 40 minutes (de 13h à 13h40).

> source
info sur fnac.com  

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10 mai 2012

Paris Match 9/05/2012

pm_M2533Le magazine Paris Match du 9 mai 2012, n°3286, consacre un article sur Garbage avec une interview de Shirley Manson.

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Garbage sort du silence  
Article dispo en ligne sur le site de parismatch.com

 Garbage_articlephoto
 Garbage en concert à Seattle en 2005. | Photo REUTERS/Anthony Bolante 

On pensait l’aventure terminée pour le groupe américain. Après sept ans de break, rencontre avec Shirley Manson, la charismatique diva rock.
Interview Sacha Reins - Paris Match

Paris Match. Qu’avez-vous fait depuis sept ans ?
Shirley Manson. Il nous a fallu tout ce temps pour nous retrouver. Nous avons eu besoin de cette pause, pour vivre en dehors de la musique et du groupe. Le rôle d’un artiste est d’être un miroir de la vie mais, quand on enchaîne indéfiniment concerts et séances d’enregistrement, on perd contact avec le monde qu’on est censé refléter. C’est le problème que connaissent les artistes qui se laissent happer par la machine. Nous ne faisions plus notre boulot.

Tout le monde attendait alors un album solo, que vous avez d’ailleurs enregistré. Pourquoi n’a-t-il jamais été commercialisé ?
Avec Garbage, je souffrais de voir notre parcours totalement formaté par la maison de disques. Je viens du monde indépendant où on fait ce qu’on veut, où la création est spontanée. Donc, quand je me suis retrouvée seule, j’ai voulu enregistrer un album très personnel qui ne visait pas les radios. Bien évidemment, je n’ai pas trouvé de producteur qui veuille me suivre. Pourtant, ils avaient calculé qu’avec ma notoriété je pourrais vendre 150 000 disques. Cela me convenait parfaitement mais ne les intéressait pas. Mes démos ont été jugées trop “noires” par mon label. J’avais pris cela pour un compliment, ce n’en était pas du tout un !

Ne craignez-vous pas qu’après un arrêt si long votre public soit passé à autre chose ?
Je ne suis pas inquiète. Nous avons fait un bon album, et le monde ne va pas s’écrouler si les gens ne l’écoutent pas. Nous avons bien compris cela. La connexion avec le public est brève aujourd’hui. Tout va si vite. Et il y a une demande constante de nouveauté et de jeunesse qui fait un peu peur.

“J’ai passé beaucoup d’auditions, des expériences horribles”

Le monde de la musique est-il plus dur avec les femmes ?
Il l’est particulièrement avec les femmes ! Non seulement vous devez être à la hauteur artistiquement, mais vous devez aussi avoir l’air éternellement jeune. C’est un jeu où nous ne pouvons que perdre.

Vieillir vous inquiète-t-il ?
Non. Que puis-je faire, de toute façon ? J’ai toujours admiré les femmes qui poursuivaient une carrière sans compromission, quel que soit leur âge. Patti Smith est un exemple pour moi : elle a tout fait selon ses propres règles. Grâce à elle, je ne me sens pas obligée de prétendre avoir toujours 20 ans et de ne jamais péter les plombs.

On vous a vue dans une série télé, “The Sarah Connors Chronicles”, dérivée de “Terminator”. Ce fut une bonne expérience ?
J’ai adoré ! C’était un rêve de petite fille qui se concrétisait. La série a été arrêtée, mais j’ai très envie de rejouer. J’ai suivi des cours de théâtre. C’est très stimulant car la plupart des élèves sont bien plus jeunes que moi.

Votre notoriété vous aide-t-elle à décrocher des rôles ?
Pas du tout. J’ai passé beaucoup d’auditions, des expériences horribles. J’ai tourné un film avec Rob Lowe, et mes scènes ont été coupées. Ce sont de vraies leçons d’humilité !

Sans vous, il n’y a pas de Garbage, vous êtes son image et son âme. Comment les autres membres vivent-ils leur anonymat ?
Cela doit être très frustrant de monter un groupe, d’engager une chanteuse, deux ans plus tard, et de voir celle-ci tirer la couverture à elle. Je pense que ça les contrarie, mais ils ne m’ont jamais dit un mot à ce sujet. 

 

4 mai 2012

Rolling Stone 20/04/2012

rolling_stone_L4199L'édition française du magazine Rolling Stone n°43, paru le 20 avril 2012, consacre un article de 6 pages au grand retour du groupe Garbage, avec une longue interview de Shirley Manson. En fin de magazine, on retrouve la critique du nouvel album Not Your Kind of People.

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18 avril 2012

Block Mag Spring/Summer 2012

blockmag_coverShirley Manson est en cover du magazine Block Mag , issue 26, de printemps / été 2012, avec une séance photos où Shirley joue les mannequins.  
Photographe: Kenneth Capello

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> source web:
scans du facebook Queremos a Garbage en Argentina

18 avril 2012

Interview Magazine April 2012

 L'édition russe du magazine Interview, d' avril 2012, contient une interview de Shirley Manson, dont l'interviewer est Debbie Harry (l'icone du groupe culte Blondie). Aucune photographie de cet entretien n'est publiée, mais des photos du groupe Garbage par le photographe Autumn De Wilde.

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 photographe: Autumn De Wilde
stylislme: Marjan Malakpour
coiffure: Clyde Haygood
maquillage: Donald Simrock

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SHIRLEY MANSON
by DEBBIE HARRY

The band Garbage is returning after a seven- year lull. In contrast to other heroes of the past that are chasing big dollars, this reunion is in earnest and for the long-haul.

For the 1990s generation, Garbage—the brain¬child of singer Shirley Manson and Butch Vig, pro-ducer of Nirvana’s “Nevermind” album—was an em¬blematic, if not lethal hallmark. Girls tried their first taste of love to the songs “Stupid Girl” and “Melt” and opened a new, adult world for themselves, as so precisely defined in the soundtrack to the James Bond movie “The World is Not Enough”. On the eve of the release of the group’s new album, the red¬headed rogue Shirley Manson—the face, voice and style of Garbage—talked with Debbie Harry, the founder of legendary group Blondie, which was an inspiration for Shirley. It turns out that much unites the two singers.

DEBBIE: Gosh, we haven’t seen each other in six years!
SHIRLEY: Yes, the last time we were in the same room was at the Rock and Roll Hall of Fame, when you were inducted—in 2006, I think.
DEBBIE: And you gave me the best speech in history. So sweet!

SHIRLEY: I think that if anyone on this planet deserves to be immortalized, it’s you. You know, I still have a portrait of you above my bed. I wake up and go to sleep with you.
DEBBIE: Outstanding. Where have you been hiding all this time?

SHIRLEY: Well, I decided to crawl from under my little shell and after seven years take another swing at this thing. 
DEBBIE: Why did you want to come back?
SHIRLEY: A feeling of not being done, like I have something left in the tank. 
DEBBIE: A lot of people are already shaking with anticipation. What direction do you think your music is taking?

SHIRLEY: I guess our current music resonates with the energy of early Garbage. Some people who have heard the new album said that it reminds them of our first record. We took so much time off that over these years we were able to regenerate. There are moments when you realize that there’s nothing else to be done. But the record label wants you to make a new album even if you’re not ready. We balked at that pressure, came off the road, and decided to simply live. 
DEBBIE: Yeah, but then that crative itch appears... I knew that you were working on a solo project and then I lost contact with you. But I al¬ways knew you wanted to continue to do music. You have something to say, and people want to hear you.

SHIRLEY: I was surprised to take so much time. I thought my seat at the rock-n-roll table would al-ready be filled. It’s not a positive place to be but that’s how I felt. But then I was surprised to find that no one had replaced me. When I was growing up, there were so many rebellious women singers like yourself, Chrissie Hynde (The Pretenders), Pat¬ti Smith...I grew up with that music. In the last de¬cade very few women have verbally rioted against pop music. I love pop music, don’t get me wrong, but balance is important. 
DEBBIE: I agree, it’s not an easy time for rock. The market is oriented toward pop, lots of girls per-forming now more resemble showgirls than artists.

SHIRLEY: Yes, it’s like watching a Broadway show. Like I said, I grew up with punk. 
DEBBIE: OK, girl, are you ready to be punking it out?

SHIRLEY: Well, I am not a pony and I’m not a showgirl. I will only do what I know how to do.
DEBBIE: You were always rebellious, but I like to describe it as inquisitive or strong-minded.

SHIRLEY: I am ready to be disagreeable, but that’s the role of any artist. The showgirl performers today, they work hard, smile, dance, sing, in some ways they are unstoppable. But this is small-mind- ed—it leaves no room for fear or melancholy.
DEBBIE: Then I want to hear some heavy stuff from you!

SHIRLEY: At least the new Garbage record is very guitar-driven. It’s a rock record, there’s no mis-taking that.
DEBBIE: During childhood, did you think you would play in a band?

SHIRLEY: No way! I was an ordinary girl who sang in a choir, went to ballet class, and then acci-dentally drifted into this alternative universe.
DEBBIE: Before Garbage you sang in the band Goodbye Mr. Mackenzie, right?

SHIRLEY: Do you remember, we toured with you in Europe! Meeting you was like touching a godly rock star. I remember we were stuck in a lift together in Liverpool, before our first concert.
DEBBIE: Gosh, I remember that too!

SHIRLEY: The elevator doors opened, you walked in, and I thought I was going to fall on the floor. I was so freaked out! You greeted me, and I couldn’t utter anything. But from that moment you began to support me.
DEBBIE: All my life I’ve been meeting people in elevators. Once I met Jimi Hendrix in an elevator, and believe me, I was the speechless one.

SHIRLEY: In Goodbye Mr. Mackenzie I played keyboards and sang back-up vocals. And Gary Kur- furst (Blondie’s manager.—Interview) came to me and asked: “Have you ever thought about fronting a band?” I was like: “No!” But it planted the seed in my head.
DEBBIE: He always had a great ear for rock. Gary could listen, he had impeccable taste, and he spoke very highly of you. He always said that you’re one of the most talented singers on the planet.

SHIRLEY: He also advised me to learn from you, to try to be like Blondie. He always believed in us.
DEBBIE: We all struggle with low self-esteem, so support from others is important. Are you strong¬ly affected by criticism now?

SHIRLEY: As I’ve gotten older, I realized that it was a dreadful waste of time. It’s very easy to feel like you’re not worthy. Today I can say that I’m good enough. And this really motivates me.
DEBBIE: Oh, that's so great. Sometimes you need to take a step back and have perspective.

SHIRLEY: It’s weird, when we came off the road seven years ago, I decided that Garbage was done. Time passes and you begin to understand who you are and what you need. I read Patti Smith’s book “Just Kids” and that triggered some¬thing in me. Patti is really all about not giving up. About that true connection to art. She fired me up, so now I am ready to say the hell with it and start again. And I’m not afraid of anything. Our new album is called “Not Your Kind of People”, and it is about our entire careers. We were outsiders. Insiders, hipsters never accepted us. Kind of like Blondie, I think...
DEBBIE: Perfect name! “Not Your Kind of People” sounds like Velvet Underground. Trust me, at the time, no one wanted to be like them.

SHIRLEY: I’m also a little worried about the heavy physicality of touring. I did it since I was 15 and never stopped, always took it for granted. But you really have to be fit to do this. It’s a hard job.
DEBBIE: Yes, it’s very athletic for sure. Speak¬ing of, you did some modeling? I remember seeing you on billboards.

SHIRLEY: To make money I used to model for art school students. When Garbage became success-ful, Calvin Klein called me and asked me to do an advertising campaign with him. But that’s part of the fun, when after hearing your music people begin to want you. Suddenly, everyone dreams of seeing you in their films and TV shows.
DEBBIE: Not everyone could agree to it. You acted in the series “Terminator: The Sarah Connor Chronicles”.

SHIRLEY (laughs): That was more at the ab¬surd, rather than brilliant end of my career. I had no idea what I was getting into. I definitely have more respect for actors now. It’s extremely hard work. I said yes to that TV show before I knew what I would be experiencing.
DEBBIE: But you were in drama group as a child, right?

SHIRLEY: Do you remember your first acting job? It’s terrifying. Was it “Hairspray” for you?
DEBBIE: No, my first serious part was in “Union City”, and I had loads of cameos before that. It’s nerve-wracking, but if you’re sure of yourself, you’ll manage.

SHIRLEY: Everyone’s creative path is defined by actually not being afraid to look like a fool in a particular moment. That’s the key to any good career. Are you willing to take that risk of falling?
DEBBIE: Indeed...Did your religious upbring¬ing help you overcome many of these obstacles?

SHIRLEY: My dad was a Sunday school teacher.
DEBBIE: Gosh, I didn’t know that!

SHIRLEY: He was extremely religious, strongly bound to the church. He was ready to have philo-sophical debates with his eleven-year old daughter. He had the courage to disagree, and taught me to be curious. And what is more, to respect others’ beliefs. I’m not religious, but it’s good to know how to be empathetic.
DEBBIE: This sounds preposterous, I know, but I think that music is a lot like religion.
SHIRLEY: Yes, it’s a form of communal prayer. If you fall in love with a musician, a song or an album, then it’s forever. You never fall out of love with it.
DEBBIE: That’s right. You said that you were touring since you were 15. You had reason to take your recent break—you are not Superman after all. You simply have to recharge your batteries, lie on the beach, right?
SHIRLEY: I think that I had a fear of becoming irrelevant. Then I realized that I needed to get off this train and go home. It’s empowering to know that you can get back on that train. I don't care if we sell a billion or ten records.

> source web:
article russe traduit sur thefashionspot.com
 

21 mars 2012

Vaga March 2012

Shirley_Manson_Vaga_Magazine_01Quelle superbe photographie en couverture du magazine américain Vaga, issue 3, A Romantic Revolt, paru le 19 mars 2012, avec ce gros plan de Shirley Manson, toujours aussi photogénique et sublime.

Modèle: Shirley Manson
Photographe: Mason Poole
Mode: Marjan Malakpour |Margaret Maldonado Agency|
Assistants de Mode: Sheena Annikki Templeton, Marnika Weiss
Coiffure: Clyde Haygood |Margaret Maldonado|
Maquillage: Donald Simrock |Margaret Maldonado|
Manucure: Jamayka Hamilton
Post-production: Kate Gashvvv
Vêtement: Valerj Pobega

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